Après une édition de Millésime Bio fin janvier un peu plus calme qu’à l’accoutumée, les salons angevins ne savaient pas franchement à quoi s’attendre en termes de fréquentation. Les organisateurs d’Angers Loire dégusT’ ont pu souffler un “ouf” de soulagement lundi 3 février à l’ouverture des portes du Parc des expos d’Angers. Les acheteurs étaient bien présents. Unanimement, les exposants des trois salons réunis en un (Salon des vins de Loire, Levée de la Loire et Demeter) ont connu une journée intense. La seconde journée du mardi a été moins soutenue, avec des retours plus disparates, mais certains ont “bien travaillé jusqu’à 17h”. Selon les informations, la fréquentation de cette édition 2025 serait supérieure aux deux précédentes, avec plus de 4 500 visiteurs.
En sondant les exposants, tous ont vu passer beaucoup de cavistes, en particulier du grand Ouest, des restaurateurs ou sommeliers également. Mais aussi quelques chefs de rayon de grande distribution qui viennent compléter leur rayon par des achats en direct, et des grossistes. Et, enfin, un petit volant non négligeable d’acheteurs étrangers issus d’Italie, du Royaume-Uni, d’Allemagne, de Belgique, des Etats-Unis, du Japon, du Mexique… soit 11 % du visitorat.
En tout cas, si elle a fait réagir au départ, la très sobre mouture du salon (une table nappée, deux chaises, glace à disposition), telle qu’elle se présente depuis trois années, semble adoptée. “C’est facile à installer, et on est tous sur un pied d’égalité. C’est simple, efficace, comme la Loire…”, soulignait un vigneron nantais.
Du côté des salons off qui entourent ALT’, les propositions ont explosé cette année. On en a comptabilisé 18. Globalement, ces salons de tailles diverses tournent autour des vins bios, biodynamiques ou nature. Il y a bien sûr les incontournables bien établis : Dive à Saumur, Madavin aux Greniers Saint-Jean à Angers, Pénitentes à Savennières… et des nouveaux. Sans doute, cette offre élargie a quelque peu dilué le potentiel de visiteurs, car certains ont été moins fréquentés qu’à l’habitude.
Au final, selon les estimations de la ville d’Angers, ce sont plus de 10 000 acheteurs qui passent sur un ou plusieurs salons pendant ce long week-end d’offres ligériennes.
P.T.
En sondant les exposants, tous ont vu passer beaucoup de cavistes, en particulier du grand Ouest, des restaurateurs ou sommeliers également. Mais aussi quelques chefs de rayon de grande distribution qui viennent compléter leur rayon par des achats en direct, et des grossistes. Et, enfin, un petit volant non négligeable d’acheteurs étrangers issus d’Italie, du Royaume-Uni, d’Allemagne, de Belgique, des Etats-Unis, du Japon, du Mexique… soit 11 % du visitorat.
En tout cas, si elle a fait réagir au départ, la très sobre mouture du salon (une table nappée, deux chaises, glace à disposition), telle qu’elle se présente depuis trois années, semble adoptée. “C’est facile à installer, et on est tous sur un pied d’égalité. C’est simple, efficace, comme la Loire…”, soulignait un vigneron nantais.
Du côté des salons off qui entourent ALT’, les propositions ont explosé cette année. On en a comptabilisé 18. Globalement, ces salons de tailles diverses tournent autour des vins bios, biodynamiques ou nature. Il y a bien sûr les incontournables bien établis : Dive à Saumur, Madavin aux Greniers Saint-Jean à Angers, Pénitentes à Savennières… et des nouveaux. Sans doute, cette offre élargie a quelque peu dilué le potentiel de visiteurs, car certains ont été moins fréquentés qu’à l’habitude.
Au final, selon les estimations de la ville d’Angers, ce sont plus de 10 000 acheteurs qui passent sur un ou plusieurs salons pendant ce long week-end d’offres ligériennes.
P.T.