Les six associés du Vignoble Drouard ont repris le Nantillais auparavant dirigé par Sophie Quéré (au centre) et désormais salariée de l'entreprise.
Producteur historique de Muscadet, le Vignoble Drouard à Château-Thébaud produit depuis peu de nouveaux liquides… sans alcool. L’entreprise familiale de 87 ha, gérée par quatre frères et deux de leurs enfants, a en effet racheté le Nantillais fin 2024. « Nous sommes distributeur historique du Nantillais. Sophie Quéré, sa responsable, nous a fait part de sa volonté de vendre et on s’est lancés. C’est une marque qui nous tient à cœur », explique Clément Drouard, l’un des coassociés.
Créée à la fin des années 90 par le restaurateur Michel Mocquillon, le Nantillais est une base d’apéritif aux fruits et zestes de fruits à mélanger avec du Muscadet, du Gros Plant ou encore de l’eau gazeuse. En 2014, l’entreprise est rachetée par Sophie Quéré et quatre associés et produit alors plusieurs recettes à partir d’agrumes ou de fruits rouges ainsi que des sirops à la carte, entre autres pour des producteurs de rhums arrangés. Mais 10 ans plus tard, elle est en perte de vitesse, liée notamment au départ des associés et au Covid.
Un bar en 2025, une salle de réception en 2026
En début d’année, le Vignoble Drouard a donc rapatrié l’unité de production des Sorinières à Château-Thébaud et embauché Sophie Quéré. L’objectif est désormais de relancer la marque et la gamme qui se compose de 5 préparations (agrumes, fruits rouges, fruits des Antilles, mandarine et citron vert) vendues en bouteilles de 47 et 70 cl, d’un sirop de canne mais aussi d’une référence de cocktail prêt à boire. « Le Pivert, est un mélange de vodka et citron vert. Dans les prochaines semaines nous sortirons le Canari, un punch nantais au Muscadet », précise Clément Drouard. 12 à 15 000 bouteilles de Nantillais sont produites chaque année. L’objectif est à terme de doubler les volumes. Pour cela, le Vignoble Drouard compte s’appuyer sur son réseau, notamment en grande distribution, principal débouché du Nantillais, mais aussi sur l’ouverture prochaine de son propre bar. Baptisé « Le Chalet », il est actuellement en construction à côté du caveau et devrait ouvrir au 2e semestre 2025. En 2026, le domaine ouvrira également une salle de réception de 90 places assises. « Il y a de la demande pour des séminaires et de l’accueil de groupe. Le monde du vin plaît et c’est un moyen pour nous de valoriser nos produits », justifie Clément Drouard.
A.L.G
Créée à la fin des années 90 par le restaurateur Michel Mocquillon, le Nantillais est une base d’apéritif aux fruits et zestes de fruits à mélanger avec du Muscadet, du Gros Plant ou encore de l’eau gazeuse. En 2014, l’entreprise est rachetée par Sophie Quéré et quatre associés et produit alors plusieurs recettes à partir d’agrumes ou de fruits rouges ainsi que des sirops à la carte, entre autres pour des producteurs de rhums arrangés. Mais 10 ans plus tard, elle est en perte de vitesse, liée notamment au départ des associés et au Covid.
Un bar en 2025, une salle de réception en 2026
En début d’année, le Vignoble Drouard a donc rapatrié l’unité de production des Sorinières à Château-Thébaud et embauché Sophie Quéré. L’objectif est désormais de relancer la marque et la gamme qui se compose de 5 préparations (agrumes, fruits rouges, fruits des Antilles, mandarine et citron vert) vendues en bouteilles de 47 et 70 cl, d’un sirop de canne mais aussi d’une référence de cocktail prêt à boire. « Le Pivert, est un mélange de vodka et citron vert. Dans les prochaines semaines nous sortirons le Canari, un punch nantais au Muscadet », précise Clément Drouard. 12 à 15 000 bouteilles de Nantillais sont produites chaque année. L’objectif est à terme de doubler les volumes. Pour cela, le Vignoble Drouard compte s’appuyer sur son réseau, notamment en grande distribution, principal débouché du Nantillais, mais aussi sur l’ouverture prochaine de son propre bar. Baptisé « Le Chalet », il est actuellement en construction à côté du caveau et devrait ouvrir au 2e semestre 2025. En 2026, le domaine ouvrira également une salle de réception de 90 places assises. « Il y a de la demande pour des séminaires et de l’accueil de groupe. Le monde du vin plaît et c’est un moyen pour nous de valoriser nos produits », justifie Clément Drouard.
A.L.G